15 décembre 2020
Montréal, le 15 décembre 2020 — L’Institut de développement urbain du Québec salue le projet dévoilé aujourd’hui comme une réponse essentielle aux besoins actuels et comme vecteurs de développements urbains à saisir.
Les considérations climatiques appellent de nouveaux moyens de transport durable. L’annonce du prolongement du REM répond aux besoins des citoyens d’aujourd’hui et ouvre de nouvelles perspectives de développement dans un contexte de lutte aux GES.
Selon Jean-Marc Fournier, président-directeur général de l’IDU : « Les sommes importantes investies dans le nouveau REM commandent une approche cohérente en matière d’aménagement. Outre l’intégration architecturale de la structure dans l’environnement urbain, il faut accompagner ce projet d’une vision claire et affirmée qui favorise la densité et l’aménagement d’espaces et de services publics aux abords des stations. Mobilité et développement urbain vont de pair. »
L’IDU incite toutefois à la prudence concernant les sources de financement de cette version 2.0. « Déjà avec les nouveaux frais de parcs et les charges à venir du règlement sur la mixité, les redevances du REM 1.0 poussent les prix des logements à la hausse à Montréal. Il faudrait éviter d’ajouter de nouveaux secteurs surchargés de redevances. Pour éviter l’étalement urbain, il faut contenir les valeurs immobilières et non les pousser à la hausse. » a déclaré Jean-Marc Fournier.
À propos de l’IDU
Fondé en 1987, l’Institut de développement urbain du Québec (IDU) est un organisme indépendant et sans but lucratif. L’IDU est le plus important représentant de l’industrie immobilière commerciale au Québec. Il agit principalement à titre de partenaire entre les membres de l’industrie, les autorités publiques ainsi que l’ensemble des parties prenantes de l’écosystème de l’immobilier commercial.
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Source : Institut de développement urbain du Québec (IDU)
Pour information : Brendan Billa
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